Pour vapoteur souhaitant réduire l'impact de son vapotage sur la planète.
Pour écologiste souhaitant arrêter de fumer.
Ecovape, le site qui montre que vape et écologie peuvent se conjuguer.
Lorsqu’on parle de cigarette électronique, il est un sujet qui revient sans cesse : la pollution. En effet, nombreux voient en cet outil une menace pour l’environnement. Nombre de ses détracteurs n’hésitent pas à insister sur son caractère pollueur et à dénoncer le vapoteur comme individu anti-écologique. Or ils commettent une erreur. La cigarette électronique sait faire preuve de propreté. Il suffit que son utilisateur se montre soucieux de l’environnement et qu’il adopte certaines pratiques, ce qui constitue une bonne chose à notre époque où il est important de prendre soin de la planète. Mais en quoi consistent ces pratiques ?
Pour que la vape respecte l’écologie, le vapoteur doit notamment modifier sa manière de s’approvisionner et il doit le faire en recourant au DIY ou à la fabrication d’autres accessoires comme les résistances. Il doit également utiliser l’équipement de vape adéquat et suivre les consignes de recyclage. Rien d’irréalisable donc, d’autant que le recyclage de l’e-cigarette est facilité par les différentes actions que lancent les acteurs de la vape.
Vapoter et écologie sont donc bien deux termes compatibles. Le vapoteur peut en effet employer sa cigarette électronique en respectant la planète. Déjà, rien qu’en utilisant la cig élec, il procure du bien à la Terre, en ce sens que l’équipement de vape demeure moins nocif que la cigarette classique. En fait, le vapoteur peut se montrer écoresponsable en se servant de sa cigarette électronique de manière à réduire son empreinte carbone. Cela passe par certains gestes quotidiens et par des choix dans la façon de vapoter et d’acheter son équipement.
Par exemple, le fait de préférer des boxs avec des accus aux dépens des mods représente une action en faveur de l’environnement. D’autres habitudes comme le DIY (Do It Yourself) sont aussi salvatrices pour notre habitat. Quant au choix de l’emballage du liquide électronique et de son volume, il constitue aussi des alternatives écoresponsables. En clair, le vapoteur peut impacter son environnement de manière positive en prenant les bonnes décisions. Il faut rappeler que l’utilisation de la cigarette électronique constitue déjà un pas de géant dans la protection de la nature, la cigarette traditionnelle restant l’un des plus grands dangers écologiques.
Si la cigarette électronique est apparue telle une alternative saine à ceux qui souhaitaient consommer de la nicotine, elle représente aussi une alliée de taille en ce qui concerne la survie de la planète. Explications.
Après la fin d’un moment de vape, vous ne laissez pas de résidus aussi imposants que le mégot d’un fumeur. Ce petit objet qui peut sembler quelconque demeure un grand ennemi de la cause écologique. En effet, d’après certaines études, un simple mégot jeté peut contaminer plus de 500 litres d’eau, lesquels 500 litres deviennent inutilisables. Ce taux de contamination peut paraitre impressionnant, mais il faut savoir que le mégot se montre d’une extrême nocivité.
On comprend donc mieux pourquoi le mégot demeure le principal facteur de la pollution des océans. Ce résidu de la cigarette traditionnelle est également le premier responsable de la pollution sur terre.
Tout ceci soulève une question cruciale, celle de la nocivité des mégots. Si ces derniers sont aussi toxiques, c’est en raison de leur difficulté à se dégrader. Un mégot jeté dans la nature va passer en effet des années avant de se désintégrer, années durant lequel il participera à la destruction de notre habitat commun.
Pour mieux comprendre cette difficulté de dégradation, il convient de se référer au mode de fabrication des cigarettes traditionnelles. Ces tueuses sont équipées d’un filtre classique confectionné avec de l’acétate de cellulose. Il s’agit d’une substance qui représente une matière plastique, donc un danger pour l’homme et pour la nature. Pourtant, les fabricants de clopes traitent l’acétate de cellulose avec du dioxyde de titane, une substance reconnue comme étant un perturbateur endocrinien. En clair, le filtre qui devrait réduire les dangers du tabac engendre des perturbations au niveau de l’organisme du fumeur.
À ce niveau, vous vous dites que le filtre est dangereux avec l’acétate de cellulose traité avec du dioxyde de titane. Pourtant, les fabricants de cigarettes classiques ne s’arrêtent pas en si bon chemin. En effet, l’association toxique obtenue par le mélange de cellulose et de dioxyde de titane est pressurisée à l’aide du tri-acétine. Toutes ces transformations chimiques aboutissent à un produit fortement toxique.
Pour rappel, la plupart des cigarettes disposent de filtres. Cet élément est présent sur 98% des clopes disponibles sur le marché. C’est pourquoi les mégots demeurent les premiers pollueurs des océans, plus que les sacs plastiques et autres déchets.
Ce qu’il faut comprendre, c’est que l’impact écologique de la cigarette est dangereux pour la planète. La preuve en est ce mégot capable de détruire pendant des décennies les océans et les réserves d’eau.
Il n’existe aucune comparaison possible entre les effets de la clope sur l’environnement et ceux de la cigarette électronique. La clope entraînera des effets négatifs alors que la cigarette électronique enregistrera des points positifs. Elle doit ces derniers à son caractère recyclable. Certes, le vapoteur doit prendre certaines mesures pour rendre son ecig réutilisable, mais la possibilité existe, contrairement à la cigarette traditionnelle qui ne peut qu’engendrer un mégot après sa consommation. En outre, la culture du tabac occasionne la déforestation, une conséquence écologique des plus déplorables.
Pour revenir à la cigarette électronique et à son impact écologique, il faut avouer que cet équipement fait du bien à la planète, en ce sens que tout ce qui est présent sur la cig élec peut être recyclé. Les batteries et les liquides électroniques peuvent être réutilisés. Toutefois, comme précisé plus haut, il faudra respecter un certain processus.
La cigarette électronique agit également sur un point essentiel qui est la santé des fumeurs. Elle agit par conséquent et de façon indirecte sur l’environnement. En effet, chaque année, les États dépensent des sommes phénoménales pour lutter contre le tabac ou pour soigner les fumeurs alors qu‘une partie de cet argent pourrait servir à des causes écologiques ou favoriser un développement durable. En permettant aux fumeurs de cesser de fumer, la cigarette électronique donne la possibilité de réaliser des économies dans le secteur sanitaire et d’investir ces économies dans le secteur environnemental.
La cigarette électronique produit de la vapeur tandis que la clope dégage de la fumée. Lorsque vous vapotez, vous ne créez donc aucune combustion et cette non-combustion constitue un atout à mettre à l’actif de la cigarette électronique. En effet, la vapeur émise s’avère moins polluante.
La cigarette classique, quant à elle, dégage une fumée toxique. On retrouve en son sein plus de 4000 substances chimiques, la plupart nocives. Pour être précis, il faut indiquer que plus de 5O de ces substances sont à l’origine de différents cancers.
Un fumeur se déplace donc avec une arme de destruction massive, car il ingère des substances chimiques et les fait ingérer à ses proches.
Lors de la combustion de la clope, on retrouve des toxines comme :
La cigarette classique reste un danger pour l’humain, mais également pour son habitat, ce qui n’est pas le cas de la cigarette électronique. Car, lors de la vaporisation, aucune substance chimique n’est produite, la vapeur étant issue de la chauffe du liquide électronique. Le juice est composé généralement de propylène glycol (PG), de glycérine végétale (VG), de nicotine et d’arômes alimentaires. Il s’agit de produits utilisés depuis des décennies dans l’industrie pharmaceutique et agroalimentaire.
En résumé, la cigarette électronique est l’alliée de la planète bleue, contrairement à la clope. Cette dernière demeure très toxique par son mégot et aussi par la fumée produite.
La responsabilité du vapoteur est engagée en ce qui concerne la survie de l’environnement. En effet, il existe différentes manières d’utiliser la vapoteuse et certaines sont bénéfiques pour l’écologie. La décision de préserver la planète revient donc à chaque vapoteur à travers les décisions qu’il prendra au quotidien.
Le choix de l’équipement de vape n’est pas anodin puisqu’il agira sur l’impact écologique de votre ecig. Par exemple, préférer un mod avec accu(s) est une solution pour préserver la planète, car la durabilité des mods est plus grande que les autres types de cigarettes électroniques.
Au lieu d’acheter des résistances toutes faites, il serait utile de les fabriquer vous-même. Cette démarche évitera un acheminement depuis la Chine et la planète ne s’en portera que mieux. Mais si vous doutez de votre capacité à fabriquer des résistances, n’ayez aucune inquiétude. En effet, il existe des tonnes de tutos sur le Net qui expliquent comment les concevoir. En optant pour cette solution, vous êtes sûr d’obtenir des équipements de qualité puisque vous connaissez les conditions de production.
Toutefois, s’il vous est impossible de fabriquer vos résistances et qu’il faut vous les procurer dans le commerce, préférez des entreprises locales afin de raccourcir le déplacement de ces produits. L’idéal pour préserver la planète reste de vous tourner vers la société productrice de résistances la plus proche de vous.
Lorsque le vapoteur doit acheter son équipement de vape, il a l’embarras du choix tant il existe différents modèles et catégories de cigarettes électroniques. Lorsque ce choix s’impose à vous, l’idéal reste de vous tourner vers des mods dotés d’accu(s) qui, contrairement aux batteries inamovibles, sont interchangeables. Alors si votre mod souffre d’une panne au niveau desdits accus, vous pourrez les changer au lieu de remplacer tout l’équipement de vape. Vous procurerez ainsi du bien autant à la planète qu’à votre portefeuille. Aussi, la prochaine fois que vous vous rendez dans un vape shop, demandez un mod avec des accus. Vous avez beaucoup à y gagner, d’autant que ces équipements offrent plus d’autonomie.
Tous les éléments de la cigarette électronique peuvent être recyclés. Vous devez donc vous montrer prudent lorsque vous êtes amené à remplacer l’un d’eux. Par exemple, lorsque votre batterie devient défectueuse et qu’il est temps de la jeter, ne le faites pas n’importe comment et n’importe où. Dans toutes les agglomérations, il existe des bacs de récupération conçus pour recycler de tels composants.
Le plus important reste donc de déposer ces déchets dans les bons bacs. Les liquides électroniques peuvent aussi être recyclés ou redistribués.
Petit conseil. Si vous souhaitez essayer un nouveau jus électronique, commencez par tester une simple fiole de 10ml avant d’en acheter de plus grandes.
De même, si vous ne désirez plus vapoter un liquide électronique, il ne faut pas directement penser à la poubelle. Vous pourrez le proposer à une de vos connaissances qui vapote. Cela évitera le gaspillage.
La fabrication des emballages des e-liquides cause aussi un effet néfaste pour la planète. Donc, pour réduire cette pollution, ne jetez plus les contenants des jus électroniques. Vous pouvez les conserver et les utiliser pour payer vos recharges à venir. En effet, il existe certaines boutiques de vape qui autorisent l’achat avec des emballages anciens. Ces magasins vont jusqu’à proposer des réductions.
En fabriquant vos propres résistances et autres accessoires, vous réaliserez un geste important pour la planète. Il faut pour cela se tourner vers une vapoteuse qui permet de reconstruire la plupart de ses éléments au lieu de les acheter. N’hésitez donc pas à agir de la sorte, d’autant que le coût de la vape sera plus faible et que, souvent, les manipulations à effectuer pour créer les accessoires de la cigarette électronique sont simples.
Fréquemment, lorsqu’une résistance est défectueuse, les vapoteurs la jettent à la poubelle alors qu’il suffit de remplacer le coton. Et dans le cas où votre fil est vétuste, il suffit aussi de le remplacer. Vous pourrez, à partir du nouveau, fabriquer une résistance au lieu d’en racheter une.
Pour les liquides électroniques, le mot d’ordre n’a pas changé. Il est toujours mieux de les fabriquer soi-même. En optant pour cette voie, vous pourrez produire du jus électronique en quantité. Il suffira d’utiliser un dosage PG/VG, un ou plusieurs arômes et, si besoin, un booster de nicotine. Non seulement vous aurez droit à des liquides de qualité, mais vous contribuerez aussi à la préservation de la planète.